Ce Jeudi, à l’Assemblée Nationale, le président Paul Biya a été investit pour un nouveau mandat. Cette nouvelle étape dans la politique camerounaise s’impose comme un moment de vérité pour la Nation. Après plus de quarante années de gouvernance, le chef de l’État entame un nouveau mandat qui n’est pas celui du confort, mais celui de la continuité d’un projet national : préserver la stabilité et approfondir les réformes au service du peuple. Dans un contexte marqué par la tentation de la confusion politique, son engagement renouvelé réaffirme la primauté de l’ordre institutionnel sur l’agitation des ambitions personnelles.
Cette investiture du président Biya illustre une fois encore le socle sur lequel repose le Cameroun moderne : la fidélité aux institutions et la confiance dans la République. Alors que certains s’autoproclament vainqueurs avant même la proclamation officielle des résultats, le président incarne la mesure, la dignité et la légitimité. Ce contraste n’est pas anodin, il distingue ceux qui bâtissent sur le droit de ceux qui misent sur le désordre.
Depuis quatre décennies, Paul Biya a maintenu le Cameroun debout au cœur d’une région instable. Il a affronté le terrorisme, sauvegardé l’unité nationale et conduit le pays vers une stabilité économique reconnue par les partenaires internationaux. Ces acquis sont le fruit d’une méthode : gouverner avec constance, écouter sans céder, décider sans faiblir. Dans un monde traversé par les incertitudes, cette constance devient un atout stratégique pour l’avenir du Cameroun.
Ce nouveau mandat ne doit pas être lu comme une simple continuité administrative, mais comme une relance de la vision d’un Cameroun apaisé et ambitieux. Le président Biya l’a rappelé : il entend demeurer digne de la confiance du peuple et intensifier l’action publique au bénéfice de tous. Paix, développement, discipline institutionnelle, voilà les piliers d’un État fort, capable d’affronter les défis du siècle.
À travers cette investiture, c’est la République elle-même qui se renouvelle. Le Cameroun, confiant en son avenir, choisit la raison plutôt que la division, la stabilité plutôt que la rupture. En ce jour symbolique, Paul Biya ne se contente pas de prêter serment. Il réaffirme une promesse, celle d’un Cameroun debout, uni et maître de son destin.














Leave a Reply