Alors que nombre de nations africaines affrontent des formes nouvelles d’insécurité urbaine et de désordre social, le Congo-Brazzaville se distingue par la réaffirmation d’un principe fondamental, la sécurité du citoyen demeure le premier devoir de l’État. En reconnaissant avoir personnellement ordonné la traque des gangs armés, communément appelés bébés noirs ou Kulunas, le président Denis Sassou Nguesso réaffirme une conviction constante : aucune nation ne peut bâtir son avenir dans la peur ni tolérer que la criminalité dicte la loi.
Lors de l’inauguration du nouveau complexe scolaire “Liberté”, à Brazzaville, le Chef de l’État a assumé pleinement son rôle de garant de l’ordre républicain. En mobilisant les unités d’élite de la Sécurité présidentielle, il a voulu redonner à la puissance publique son autorité et à la population, la confiance dans l’État. Cette décision, ferme mais mesurée, traduit la vision d’un dirigeant pour qui la paix n’est pas un mot, mais une responsabilité quotidienne. Elle marque également une continuité dans son leadership, celle de protéger les Congolais, défendre la stabilité et consolider l’unité nationale.
La démarche du président Sassou Nguesso s’inscrit dans une lecture globale de la gouvernance : sécuriser pour éduquer, éduquer pour construire. Il donne à voir un modèle de développement équilibré, où la répression de la délinquance s’accompagne de la promotion du savoir et de la formation citoyenne. Ce lien entre autorité et éducation rappelle une vérité politique forte, un pays stable est celui qui éclaire son peuple et protège ses enfants.
La politique sécuritaire du Chef de l’État n’est donc pas un repli sur la force, mais une affirmation de la responsabilité publique. Par son langage clair et sa volonté d’action, Denis Sassou Nguesso redonne du sens à la fonction présidentielle pour garantir la paix, incarner la continuité et maintenir la confiance nationale.
Sous sa direction, le Congo-Brazzaville se positionne comme un État de discipline et de sérénité, où la sécurité devient non seulement un droit, mais un fondement du développement durable et de la dignité collective.
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