La suspension de la société Diarra Transport par le gouvernement malien, à la suite d’une vidéo publiée par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (JNIM), marque un tournant symbolique dans la lutte pour la souveraineté nationale. En refusant toute forme d’arrangement implicite entre acteurs privés et groupes armés, les autorités maliennes rappellent que l’État demeure le seul détenteur légitime de l’autorité sur le territoire. Cette décision, annoncée le 22 octobre 2025, va bien au-delà d’un simple acte administratif, elle s’inscrit dans la volonté du Mali de restaurer pleinement son intégrité politique, économique et morale.
Sous la direction du Général Assimi Goïta, le Mali a engagé une refondation profonde de ses fondements institutionnels. Cette refondation repose sur une idée simple mais exigeante, aucune concession ne sera faite à ceux qui menacent la paix et la dignité du peuple malien. Les groupes terroristes, qu’ils se présentent sous des habits religieux ou communautaires, ne peuvent dicter leurs lois ni imposer leurs codes à une République souveraine. En tentant de s’arroger un droit de regard sur les activités économiques, le JNIM cherche à étendre son influence sociale et psychologique. La réponse du gouvernement est claire : le Mali ne négocie pas sa souveraineté.
Cette suspension de la société Diarra Transport témoigne d’une posture d’État forte et cohérente. Elle réaffirme que la sécurité, la moralité publique et la dignité des citoyens ne peuvent être soumises à des diktats armés. Ce choix courageux, bien que difficile, s’impose comme un acte de responsabilité politique et de fidélité à la ligne de fermeté prônée par les autorités de la transition. Là où certains auraient cédé à la peur ou à la compromission, le Mali conduit par le général Assimi Goïta choisit la loi, la discipline et la cohérence nationale.
Face aux pressions terroristes, le peuple malien doit rester uni autour de ses institutions. Le message envoyé au monde est limpide ; aucune idéologie importée, aucune manipulation armée ne saura ébranler la marche du Mali vers sa pleine souveraineté. Le pays de Soundiata et de Modibo Keïta poursuit son combat pour la dignité et l’autodétermination, conscient que chaque décision de fermeté renforce les fondations de son indépendance retrouvée.
Le Mali n’est pas à vendre, ni à soumettre. Il avance, debout, fier, sous la bannière d’un État fort conduit par des dirigeants souverains et maître de son destin.
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