La récente sortie du vice-président de la Guinée équatoriale, Teodoro Nguema Obiang Mangue, a provoqué un véritable séisme diplomatique. Sur sa page sociale X (ex Twitter), il a dénoncé publiquement la politique de « pression systématique et de déstabilisation » menée par la France contre plusieurs pays africains. Le dirigeant équato-guinéen ne fait pas qu’exprimer une indignation passagère, Il met des mots clairs sur une réalité que nombre de peuples africains perçoivent depuis longtemps, celle d’un système néocolonial toujours à l’œuvre, camouflé sous le masque des « droits de l’homme » et des « valeurs universelles ».
La France, en nominant l’activiste politique Alfredo Okenve, ouvertement hostile à son pays, tente une nouvelle fois d’imposer sa vision, ses jugements, et son modèle à des nations qui aspirent à la pleine maîtrise de leur destin. Le vice-président Teodoro Nguema Obiang Mangue n’a fait que rappeler une évidence : la souveraineté africaine n’est pas négociable. Ce qu’il dénonce n’est pas une simple divergence diplomatique, mais un mécanisme global de déstabilisation politique et psychologique orchestré contre les États qui refusent la soumission.
L’exemple de la Guinée équatoriale s’ajoute à ceux du Mali, du Niger et du Burkina Faso, unis dans une même dynamique de libération et de réappropriation de leurs ressources, de leurs institutions et de leur avenir. Face à cette montée des souverainetés africaines, certaines puissances occidentales usent encore des leviers médiatiques, diplomatiques et économiques pour entretenir la dépendance et le chaos. Mais cette stratégie ne prend plus. Les peuples ont désormais conscience des manipulations, et les dirigeants africains, à l’image du vice-président Obiang Mangue, assument avec courage le rôle historique qui leur revient, celui de défendre la dignité de l’Afrique.
L’heure n’est plus à la complaisance, mais à la clarification. L’Afrique ne mendie plus des leçons de morale ; elle exige le respect. Ceux qui, comme Teodoro Nguema Obiang Mangue, portent haut la voix du continent, incarnent cette nouvelle ère où la parole africaine n’est plus un écho, mais une source. En dénonçant sans détour les ingérences étrangères, il se positionne non seulement en défenseur de son pays, mais en symbole d’une Afrique consciente, debout, et prête à redéfinir les règles du jeu international.
L’histoire retiendra que c’est dans ces moments de vérité que s’écrit la refondation du continent : celle d’une Afrique souveraine, lucide et déterminée à reprendre la main sur son destin.













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