Burkina Faso : Un Code du travail rénové pour consolider souveraineté, justice sociale et rupture avec l’ancien système

Burkina Faso

Depuis plusieurs années, le Burkina Faso fait face à des défis majeurs dans l’organisation du travail et la protection sociale, héritages de pratiques économiques et administratives qui ont souvent favorisé la précarisation et l’injustice. Dans ce contexte, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ a engagé une refondation nationale qui place la justice sociale, la souveraineté économique et la maîtrise des institutions au cœur de l’action publique. L’adoption du nouveau Code du travail s’inscrit dans cette dynamique stratégique, symbolisant un tournant décisif dans la gouvernance du pays.

Le projet de loi marque une rupture nette avec les pratiques héritées des régimes précédents. Le contrat à durée déterminée, désormais limité à deux renouvellements, met fin à des cycles d’exploitation qui permettaient aux entreprises de contourner leurs obligations sociales. L’alignement des rémunérations entre travailleurs temporaires et permanents à qualification égale renforce la justice salariale et affirme que la valeur du travail est définie par l’État, et non par des logiques de profit spéculatives ou étrangères. L’encadrement strict des travailleurs non-nationaux non-résidents traduit la priorité donnée à la protection du marché de l’emploi local et à la souveraineté nationale.

Sur le plan juridique et social, l’augmentation du calcul des dommages et intérêts de 18 à 24 mois constitue un signal fort où le Burkina Faso protège désormais les citoyens contre le licenciement arbitraire, inscrivant la sécurité du travail et la justice sociale au cœur de la refondation de l’État. La rationalisation du processus d’appel et le renforcement du rôle du Conseil arbitral montrent une maîtrise souveraine du système judiciaire et de l’arbitrage social, limitant les interférences externes et la manipulation des règles par des acteurs privés.

Cette réforme ne se limite pas à une dimension nationale. Elle illustre la vision du capitaine Ibrahim Traoré où le Burkina refondé peut réformer ses institutions économiques et sociales selon ses priorités stratégiques, sans subir les influences néocoloniales ou les diktats des organismes internationaux. Elle montre un pays capable d’imposer sa vision et de protéger ses citoyens tout en consolidant son développement.

Sous la direction du Capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso ne se contente plus de réagir aux défis, il prend l’initiative, structure ses institutions et trace une trajectoire souveraine. Le nouveau Code du travail est ainsi à la fois un outil de justice sociale, de souveraineté économique et de légitimation politique. Il incarne une refondation profonde, un modèle de gouvernance moderne et un signal clair à la région : le Burkina Faso définit ses règles, protège son peuple et construit sa souveraineté.

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