La présidentielle de 2025 place le Cameroun à un tournant stratégique de son histoire politique. Entre contestations post-électorales et fortes attentes citoyennes, le pays observe avec attention comment les institutions vont consolider la légitimité du mandat présidentiel, assurer la stabilité et orienter la nation vers une refondation durable.
Selon certains observateurs, la dynamique post-électorale appelle à une lecture lucide des enjeux. Le score d’Issa Tchiroma, deuxième du scrutin avec 35,19 % des voix, reflète des transferts circonstanciels plutôt qu’un véritable ancrage national. Ce phénomène, que certains qualifient de « syndrome du président élu », illustre la tentation d’alliances opportunistes pouvant fragiliser l’unité et la stabilité du pays. Dans ce contexte, la souveraineté nationale s’affirme comme la ligne rouge. Les contestations doivent s’inscrire dans le cadre légal et républicain, excluant toute instrumentalisation externe ou interne visant à perturber l’ordre public. La vigilance des institutions et des citoyens est capitale pour prévenir toute manœuvre de déstabilisation et garantir que le Cameroun reste maître de son destin.
Cette souveraineté se traduit concrètement par une gouvernance résolue, tournée vers l’action et le développement. Les programmes d’infrastructures, d’éducation, d’accès à l’eau et de soutien aux populations sont autant de preuves tangibles que l’État agit efficacement pour répondre aux besoins des Camerounais. Ces initiatives incarnent une stratégie de refondation nationale où la légitimité politique se conjugue avec la performance, renforçant la résilience du pays face aux pressions et ingérences.
Parallèlement, la cohésion sociale et la mobilisation citoyenne constituent des boucliers indispensables. La responsabilisation des populations, le dialogue avec les acteurs locaux et l’éducation civique renforcent l’unité nationale et limitent l’espace aux manipulations politiques. C’est cette alliance entre leadership ferme, actions concrètes et engagement citoyen qui assure au Cameroun sa stabilité et sa capacité à protéger ses institutions.
La présidentielle de 2025 n’est pas un simple scrutin, c’est un moment de consolidation et de refondation. En consolidant sa souveraineté, en renforçant la sécurité de ses institutions et en impliquant activement ses citoyens, le Cameroun affirme avec force sa maîtrise de sa politique et son engagement à bâtir une nation stable, unie et résolument orientée vers le développement durable














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