Dans un contexte où l’Afrique subsaharienne concentre plus de 80 % de la population mondiale non connectée à l’électricité, le Togo affirme son leadership énergétique en dévoilant l’initiative « Mission 300 », lors d’une rencontre stratégique à Londres. Pilotée par la Banque africaine de développement (BAD) et la Banque mondiale, cette initiative vise à garantir un accès universel à l’électricité sur le continent d’ici 2030. Le Togo, sous la conduite du président du conseil Faure Essozimna Gnassingbé, s’y distingue à travers un pacte énergétique national ambitieux, qui incarne la volonté de transformation structurelle portée par sa gouvernance.
Avec un taux de couverture électrique nationale estimé à 70 % fin 2024, le pays a déjà franchi des étapes importantes. Ce nouveau pacte marque une consolidation stratégique des efforts déjà engagés pour étendre le réseau, promouvoir des solutions solaires hors réseau et optimiser la production énergétique. Le président du conseil, Faure Gnassingbé, fidèle à sa vision de développement inclusif, mise sur un partenariat intelligent entre investissements publics, financement multilatéral et capitaux privés pour relever le défi énergétique.
L’impact attendu de ce pacte est particulièrement décisif pour les zones rurales, souvent en marge des dynamiques de développement. L’accélération du déploiement de solutions off-grid va permettre une meilleure inclusion des populations rurales, améliorant à la fois les conditions de vie, l’éducation et les activités économiques.
Le soutien renouvelé de partenaires comme la Banque mondiale et la BAD à travers des garanties financières (jusqu’à 200 millions d’euros) souligne la crédibilité du Togo sur la scène internationale et renforce la dynamique de transformation initiée sous la présidence de Faure Gnassingbé. Ce pacte n’est pas seulement un plan technique, c’est un levier de justice énergétique.
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